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 Sur la joue - tout chou^^ pas une fanfiction cette fois^^

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Kuroi Tsuki
Neko
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Kuroi Tsuki


Masculin Nombre de messages : 73
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Sur la joue - tout chou^^  pas une fanfiction cette fois^^ Empty
MessageSujet: Sur la joue - tout chou^^ pas une fanfiction cette fois^^   Sur la joue - tout chou^^  pas une fanfiction cette fois^^ EmptySam 26 Aoû - 16:45

Sur la joue



Un sourire étire mes lèvres lorsque je te vois, content, t’amuser avec tes amis, plus ou moins innocemment. C’est de la tendresse que l’on peut lire dans mon regard. Même si tu ne le remarques pas, je suis toujours derrière à t’observer tranquillement. Tu ne me connais presque pas et tu ne me parles uniquement pour me dire des âneries, qui me font enrager.
A plusieurs reprises, je me suis posée des questions. Tout cela a longuement tourné dans ma tête. Je me suis même posée des questions sur l’origine de mes sentiments pour toi. Et je n’aie rien réussi à en conclure. J’ai parlé avec ma meilleure amie et elle m’a dit quelque chose que je trouvais idiot sur le coup mais maintenant, je me dis que ça m’a changé. Cette phrase était :

« Embrasse le sur la joue pour voir comme il va réagir... »

Je sais que tu as dit ça pour rire au début mais cette phrase m’a obsédé pendant une longue période. J’y ai donc songé et j’ai fini par décider que j’irai vers lui, comme on me l’a « commandé ». Je ne peux m’empêcher de le détailler quand il est à quelques mètres de moi. Le seul mot qui me vient à l’esprit est « magnifique ».

Suis-je amoureuse ? Je n’ai jamais réellement connu la définition de ce mot. Parfois, j’ai peur des sentiments qui montent en moi. Il arrive que l’envie de l’embrasser prenne le dessus quelques secondes, mais à chaque fois j’arrive à « calmer mes ardeurs » à temps. Peut-être est-ce l’adolescence, je ne sais pas...
Aujourd’hui, je vais faire le premier pas...
Généralement, c’est les garçons qui le font mais qui ne tentent rien, n’a rien.
J’ai une boule dans l’estomac et la gorge sèche. Je sais exactement la moindre petite parole que je vais prononcer, le seul petit « problème », c’est lui...
Peut-être va-t-il m’en vouloir, me haïr ou autre chose...
Je crois que s’il me disputait, je n’oserais plus le regarder en face.

Mes amis sont à côté de moi, ne se doutant de rien. Dans quelques secondes elles vont comprendre mon comportement agressif de ses derniers temps.
Ce qui est sûr, c’est que, quoiqu’il arrivera, ma façon de voir les choses va changer brutalement.
D’un pas déterminé, je m’avance vers lui et ses amis. La peur atteint son paroxysme mais je sais que je dois foncer, ne pas hésiter devant le premier obstacle. En me voyant, il s’est retourné. J’avance toujours pour n’arriver qu’à quelques centimètres de lui. Je peux sentir son odeur envoûtante et l’entendre respirer...
Aucun de nous deux ne parlent, même les autres garçons se sont tus. Soudain, prise d’une transe incompréhensible, je m’approche de lui et l’embrasse sur la joue avant de partir en courant, une sourire affiché sur mes lèvres. Je sais que ce baiser l’a complètement déstabilisé, en classe, il ne parlait plus avec ses amis, il semblait en pleine réflexion. Nous étions deux dans cet état. Des milliers des questions avaient prise ma tête en otage. Moi qui suis derrière toi dans plusieurs matières, pas une seule fois tu as ouvert la bouche. J’ai passé l’heure à t’observer, me demandant comment tu réagirais...

Lorsque nous eûmes fini les cours, je me suis hâtée de rentrer à la maison pour mettre un disque et réfléchir un peu. Je me suis endormie plusieurs heures à cause de la musique.
Après m’être recoiffée, je suis allée manger tranquillement. Mais, en plein milieu du repas, ma mère m’a annoncé comme une fleur, qu’un jeune homme était venu pendant que je dormais. Il voulait me parler.
Je sus immédiatement de qui il s’agissait et une colère monta en moi. Je sortis de table et préféra fuir dans ma chambre pour mettre la musique à fond et pleurer ma haine.
C’est la première fois que j’ai versé autant de larmes pour une seule personne.

Epuisée, la fatigue gagna la partie et je m’assoupie pour me réveiller le lendemain matin vers dix heures. Heureusement que nous étions Mercredi car je n’avais pas le cœur à travailler hier, ni aujourd’hui d’ailleurs.
Malgré l’envie persistante de ne pas quitter cette couette chaude, je me suis levée à contre cœur pour prendre une douche bouillante et aller manger un yaourt. Après cela, je suis allée sur Internet et j’ai fait quelques recherches sans grandes importances. J’avais l’esprit ailleurs...
Je n’ai pratiquement rien mangé à midi. Ma mère a crié mais ce n’est pas grave, ça passera, comme d’habitude...
J’ai passé toute l’après-midi devant la télé, à regarder sans regarder, entendre sans entendre...

Mais vers quinze heures, quelqu’un sonna. Immédiatement j’accouru jusqu’à la porte et l’ouvrit, le cœur remplit d’espoir...
Mes yeux s’embuèrent de larmes en voyant qu’il s’agissait en fait d’une amie à ma mère. Je retins mes cris de rage à grande peine et retourna devant la télévision, les larmes coulant de mes yeux jusqu’à mes lèvres.

Ce jour là, je n’aie rien fait, je suis restée assise sur le fauteuil, laissant ma tristesse prendre le dessus. Le lendemain, j’ai dû me lever vers six heures pour faire les deux petits exercices que l’on m’avait donnés. Dès que je les eus fini, je suis allée prendre une douche pour oublier. Tout... Ce que j’avais fait, pourquoi je l’avais fait...

Malgré tous mes efforts, je ne peux m’empêcher de penser à lui, ses yeux de la couleur de l’espoir, ses cheveux noir jet, sa taille grande et fine. Son odeur que je ne pourrais oublier, et ses lèvres qui me donne tant envie de les effleurer avec les miennes...

C’est en larmes que je sors de la douche. Même l’eau chaude et rassurante n’a pas réussit à calmer les sanglots dans ma gorge... Je ne sais pas dans quel état je vais arriver au collège mais il faut absolument que je me calme sinon les autres vont encore plus se moquer...

Comme dirait quelques dans un film que j’ai vu : « Soit forte ! »

Je serais forte et attendrais qu’il vienne me parler. Aujourd’hui nous faisons une sortie à Paris avec ma classe... Nous allons faire les bateaux mouche et aller voir le musée de la marine. Même si je déteste Napoléon je vais me taire et y aller. Heureusement mes amies seront là pour me soutenir si je vais mal...

En plus, nous y allons partir en car, peut-être se placera-t-il derrière moi...
J’ai beau essayé de ne plus penser à lui je n’y arrive pas, c’est tellement injuste...
Il me hante jour et nuit, pourquoi ? Dites moi pourquoi il doit m’obséder à ce point ?

J’ai envie de pleurer mais je me retiens car je viens d’arriver devant le collège où tous ceux de ma classe parlent par petit groupe. Essayant de ne pas le regarder, je m’avance vers mes amies. Je m’efface lorsqu’elles parlent de petites choses sans intérêt car cela ne m’intéresse pas et elles non plus ça ne semble pas les passionner. Je sais qu’elles voudraient me poser des milliers de question mais je n’aurais pas le courage d’y répondre sans éclater en sanglot. Je reste donc là, avec elle, la mine triste, tortillant mes mains, baissant les yeux.

Je me hâte de monter dans le car lorsque les professeurs nous appelle. Aujourd’hui, beaucoup d’embouteillage a été prévu mais la prof d’Histoire tient à cette visite. C’est pour cela que nous partons plus tôt, pour arriver à l’heure, du moins nous l’espérons...

Je me hâte de me placer et attends qu’une de mes amies ne s’asseyent à côté de moi mais personne n’arrive. Je commence à avoir peur en me demandant si elles n’avaient pas décidé de m’abandonner... Doucement, je prend mon lecteur de disques et mets mes écouteurs dans mes oreilles avant de fermer les yeux. Je les ré ouvre en sentant quelqu’un s’asseoir à côté de moi. Quelle n’est pas ma surprise lorsque je l’aperçois à mes côtés. Il ne dit rien, pas un sourire n’est affiché sur ses lèvres, il semble aussi songeur qu’hier.

Pendant un instant je commence à m’en vouloir, ça me manque l’époque où il venait m’énerver. Je n’aurais jamais dû faire ça, tout serait rester comme avant et je ne serais pas en train de retenir mes larmes à grandes peines pour lui...

Je ferme mes yeux à nouveau et essaie de laisser la musique me bercer, en vain. Ce que j’écoute est trop triste et des larmes me montent aux yeux avant de couler sur mes joues...
Je sens ton regard sur moi mais je ne dis rien, ça me fait trop mal de prononcer une parole. Doucement, je sens ta main qui vient essuyer l’une des larmes coulant sur ma joue. Je frémis en sentant le contact de ta main sur ma peau.

Instinctivement, je viens placer ma tête sur ton épaule. Tu ne me repousses pas...
D’autres larmes se mêlent aux premières... Je n’aie toujours pas ouvert les yeux et je refuse de le faire de peur que ce ne soit qu’un rêve idiot...

Une de tes mains se pose sur la mienne pour me montrer que tu es là. Je refuse toujours obstinément d’ouvrir les yeux et tu n’essaies pas de m’en obliger. Je me sens bien à tes côtés. Calme, sereine, rassurer...

Un soupir de bien être passe mes lèvres et toi, tu ne bouges pas même si je sens ton regard posé sur moi depuis le début. La douleur a été remplacé par de l’appréhension. Pour l’instant je suis bien mais peut-être que cela va changer lorsque j’ouvrirais mes paupières pour te regarder...

J’ai toujours dit que la vie était injuste et aujourd’hui, j’en suis totalement sûre...

Le car s’arrête après une heures trente de route. Il me caresse le visage avec douceur et j’ouvre les yeux. Je les referme immédiatement aveuglé par la lumière. Je n’avais pas rêvé, il est bien à côté de moi, il n’a pas bougé depuis tout à l’heure. Pas une seule remarque n’est parvenue à mes oreilles en me réveillant.

Je sors du car en traînant les pieds et regarde autour de moi. La visite risque d’être ennuyeuse à souhait mais je vais faire un petit effort. Les profs nous demande de nous mettre en équipe de deux pour travailler et il s’avance tout de suite vers moi. Je hoche la tête, n‘arrivant pas à prononcer un seul mot. En regardant mes amies, je m’aperçois qu’elles sont toutes souriantes, contente pour moi peut-être...

Nous entrons donc dans le musée et déposons nos sacs. Je prends ma pochette plastique et un stylo avant de m’écarter du amas de personne qui est en train de poser leur sac. Il me rejoint mais ne parle toujours pas. Je pensais que nous étions différent tous les deux alors qu’en fait il y a beaucoup de ressemblance...

Les professeurs s’avancent vers nous avant de demander de se remettre en groupe. Il se rapproche de moi et tous deux, nous avançons devant, pour être tranquille.

La guide commence à parler mais j’ai du mal à comprendre ce qu’elle dit. Je suis sur mon petit nuage et j’aimerais ne jamais redescendre sur terre tant je suis bien ici.

Toi par contre, tu prends quelques notes, vite fait, histoire de dire que tu écoutes... même si je sais qu’en fait tu te fiches de ce que raconte la bonne femme.

Vers midi, alors que la visite touche à sa fin, les professeurs nous emmène dans un jardin en face de la tour Effel pour manger quelque chose. Pardonner moi si j’en ai oublié le nom mais ma ligne de pensée est occupée par une seule et même personne. Il est reparti avec ses amis et moi je mange avec les miennes. Elles me posent des milliers de questions auxquelles je réponds par des oui ou des non, rien de plus, rien de moins. Après avoir rassasier nos estomacs, il nous reste une petite heure avant les bateaux mouches.

Les filles rient des pitreries qu’un garçon s’amuse à faire. Il arrive à décocher un unique sourire de mes lèvres. Marie, me demande alors qu’on aille marcher un peu avec deux ou trois autres filles. Je hoche la tête et nous le faisons donc, après avoir demander l’autorisation des professeurs. Je sais qu’il m’observe tout en parlant avec ses amis et cela me met du baume au cœur.

Je réponds à certaine de leur question mais reste tout de même réservée. A quatorze heures les profs nous font lever le camps pour aller jusqu’aux bateaux mouches. Marie, moi et les autres filles discutons avec un garçon du nom de Antoine qui dessine très bien. Marie lui demande s’il veut bien lui dessiner quelque chose et il accepte, un sourire aux lèvres. Depuis que je le connais, je ne l’aie jamais vu en colère, c’est étrange comme comportement je trouve. Quand je dis ça à mon amie elle me dispute en disant qu’il est quelqu’un de calme et non « étrange » comme je l’appelle. Ça se voit à quarante kilomètres qu’elle l’aime depuis longtemps, moi ça me fait sourire et je m’amuse à la taquiner de temps à autres pour voir jusqu’à quand elle va rester patiente ! C’est plutôt sadique comme façon d’être mais croyez bien qu’elle aussi va se venger maintenant.

Dès que nous arrivons là-bas, nous nous hâtons de monter sur le bateau avant de prendre des places à l’extérieur. Marie se place avec le reste des fille et moi je vais tout au fond. Je sens quelqu’un qui se rapproche de moi et je sais déjà de qui il s’agit, il est juste derrière moi, en train de me détailler. Doucement, je me retourne et l’observe à mon tour, il est si beau...

Il s’avance jusqu’à moi et commence à me fixer. Ses yeux reflètent tant de douceur et d’envie que je me demande un instant si c’est humain...
Quelques mots passent ses lèvres mais je n’y réponds que par un sourire. Je lui fais un peu de place et il s’appuie lui aussi sur la barre de façon à pouvoir observer le paysage. J’aime être à ses côtés, quand nous ne parlons pas et restons là à nous regarder avec douceur. Je ne sais pas si je suis réellement avec lui maintenant mais après tout, je m’en fiche, je suis heureuse d’avoir tenté le tout pour le tout. Il ne m’a pas dit qu’il m’aime, moi non plus d’ailleurs, mais une lueur dans ses yeux me dit que ce sentiment est partagé...

Toutes mes amies ont mis un espèce de téléphone à leur oreille pour écouter les explications, nous, nous préférons regarder et ne penser à rien d’autre. Le bateau passe devant Notre Dame de Paris et d’autres magnifiques monuments que je ne peux m’empêcher de détailler cette superbe architecture...

Toujours à mes contemplations, je sens sa main passer autour de ma taille. Je ne bouge pas et lui sourit, posant ma tête sur son épaule. J’ai oublié tout le monde autour de moi, je suis bien, avec lui, il n’y a plus personne autour de nous... Nous sommes là, un point c’est tout...

La balade prend malheureusement bien vite fin et les professeurs nous font redescendre pour que nous retournions dans le car. Il vient immédiatement se mettre à côté de moi et je pose ma tête sur son épaule. Un sourire passe ses lèvres et il pose sa main sur la mienne. Je me délecte de son sourire comme s’il s’agissait de la première fois. Je l’aime, il n’y a plus aucun doute...

Le voyage en car se déroule beaucoup plus vite que l’allée et nous arrivons en une heure devant le collège. Tous les élèves partent dans leur direction et moi je reste là sans bouger. Je suis seule avec toi, même les professeurs sont partis et il se fait à présent tard. Je lève mes yeux vers toi et t’observe, attendant que tu dises quelque chose mais aucun mot ne passe tes lèvres...

Doucement, tu te penches légèrement vers moi et m’embrasse sur la joue, comme je l’avais faire avant-hier. Des larmes montent à mes yeux avant qu’elles ne se mettent à couler. De tes bras, tu enserres ma taille de façon à ce que nous nous touchions. Qu’il n’y ait plus un seul espace entre nous deux corps. Je sais ce que tu attends et je le lis de tes yeux. J’avance mon visage du tient et dépose un baiser sur tes lèvres. Ce baiser est le premier et certainement pas le dernier. Il ressemble à une déclaration d’amour et c’est comme cela que tu l’as prit. Aucuns mots ne sortent de nos bouches mais nos yeux veulent en dire bien plus...

*fin*

Cette histoire je l'avais écrite car je voulais faire, une histoire d'amour sans dialogue. Après tout, que sont les dialogues si c'est le coeur qui parle ? ^^
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