Euh bah,, histoire a l'eau de rose xD

1er chapitre :

Elle:

Ding Dong… Ding Dong…
Cela allait faire 2 minutes qu’elle sonnait sans relâche, qu’elle s’énervait sur cette putain de sonnette, dans l’espérance de le voir ouvrir la porte.
Ding Dong… Ding Dong…
Toujours rien, que faisait-il donc ?

Tillu en était sur a présent, Heckram ne l’aimait pas.
Elle avait espéré, peut-être trop d’ailleurs.
Elle se souviendrait toujours de cette fameuse journée. Celle ou elle lui avait tout dit.



Flash back (scène perverse après les filles, patientez xD)

C’était lundi dernier... Lundi soir après les cours, en sortant du bahut, a 3 heures.
Tillu avait pris Heckram par le bras, comme elle avait l’habitude de le faire. Ils étaient amis tout deux depuis la maternelle. Jamais une dispute, pas même une toute petite.
Elle l’avait entraîné derrière un arbre. Heckram n’avait pas compris. Il l’avait regardé, sans dire mot, et lui avait demandé ce qu’il se passait, s’inquiétant du silence son amie Tillu.
Cette dernière lui avait alors dit :

- Dit, tu ne t’es jamais inquiété de ne pas me voir sortir avec d’autres mecs ?

Heckram avait rétorque un simple :
- Oh… Je ne savais pas que tu étais lesbienne.

Tillu avait sourit. A cause de sa naïveté à ne pas vouloir voir une chose évidente.
Elle avait hésité, puis lui avait murmuré un :
- Idiot. C’est toi que j’aime.
Elle avait dit ça dans un murmure imperceptible avant de se lancer et de l’embrasser.
Un baiser tout en douceur, mais de courte durée.

Heckram l’avait vite achevé, alors qu’elle avait commencé à sentir que le barrage de ses lèvres si douces, si expérimentées en matière de baiser, commençait à céder.
Il s’était reculé, l’avait regardé droit dans les yeux, et lui avait déclaré que leur amitié valait mieux ne pas dépasser ce stade et que pour son bien, il fallait qu’il arrête de se voir pendant un certain temps.
- Nous pourrons nous revoir quand tes lubies auront disparues.

Il était alors partit, sur ces mots qui avait agis comme un coup de poignard en plein ventre, sans se retourner.

Fin du flash-back.



Ding Dong… Ding Dong…
Elle continuait inlassablement à appuyer. Les larmes commençaient à perlées au coin de ses yeux.
Nan, elle ne s’en irait pas. Pas avant d’avoir compris. Pas avant qu’il lui ait dit pourquoi cela lui faisait peur.
Après tout, elle l’aimait depuis la maternelle. Et cela n’était pas intervenu sur leur relation amicale.
Maintenant, elle avait grandi. Elle se rendait compte qu’il comptait beaucoup pour elle. Beaucoup trop.


Elle s’en était vraiment compte, le jour où il était tombé malade. Elle l’avait vu maigre, en sueur, fiévreux, mais elle avait supporté cette vision, et avait fait de son mieux pour l’aider. Elle était restée chez lui, à son chevet, éveillé. Elle avait craint de le perdre, avait passé des nuits entières à lui tenir la main, à pleurer pour qu’il s’en sorte.
Alors que d’autres amies l’avait ignorée, le fuyant comme la peste, elle était restée.
Seule avec lui.


Maintenant, elle ne voulait pas le perdre à cause d’un simple baiser volé auquel il avait répondu un court laps de temps.
Alors elle appuyait, encore et encore, sans savoir que de son coté, il se cachait, dans l’espoir qu’elle s’en irait.

Lui :

Cela faisait 10 minutes qu’il attendait, assis par terre, qu’elle s’en aille. Caché par le canapé, il l’admirait à travers la porte vitrée.
Heckram s’empêchait volontairement d’aller ouvrir cette porte.
Il savait comment cela finirait si il avait le malheur d’aller ouvrir.
Ou bien il lui disait qu’il était fou d’amour, d’envie et de désir lorsqu’il la voyait, et là, seul le destin connaissait ce qu’il se passerait.
Ou bien il mettait fin à leur amitié, et il le regretterait toute sa vie.

Ding Dong… (Vi vi, encore xD)

Son coeur s’accéléra. Au fur et à mesures que le nombre de sonneries évoluait en augmentant, sa détermination, elle diminuait.
Si elle ne s’en allait pas immédiatement, il ne répondrait plus de ses actes.

Elle :

Ding Dong…
Elle pleurait de plus en plus. Tillu sentait ses larmes chaudes, de plus en plus nombreuses, tracer des chemins mouillés sur son visage.

Ding Dong…
Cette fois, s’en était trop. Elle ne résista pas et relâcha la pression de ses muscles.
Elle tomba par terre, assisse et enroula ses bras autour de ses jambes, repliées.
Tillu ne retient plus ses larmes et cria son désespoir.

Tant pis si quelqu’un la voyait dans cet état. Son cœur était brisé, à jamais peut-être et elle n’arrivait plus à faire semblant d’être forte.

Lui :

Il la voit s’effondrer par terre. Il l’entend pleurer, crier. Il a mal.
Il la revoit sourire, rire. Il la revoit heureuse. Il ressent le rythme de son cœur s’accélérer en pensant à elle.
Il sent comme un noeud dans son estomac. Il a mal.

Alors lentement, il se lève, se dirige vers la porte.
Il l’ouvre.

A présent, il la voit, recroquevillée sur elle-même. Il a envie de la prendre dans ses bras.
Il s’agenouille, lui relève la tête, écarte une mèche rebelle.
Elle est si belle. Ses cheveux noirs, ses yeux marron. Ses traits fins. Tout en elle respire la fraîcheur.

Alors, délicatement, il la soulève, la prend dans ses bras comme on prend un bébé qui dort et la porte sur le divan où elle s’allonge sur les deux tiers sur canapé, pied sur le boudin de l’une des deux extrémités.
Il retourne fermer la porte et revient prés d’elle. Elle continue de pleurer, tandis que lui s’assoit à coté de sa tête.
Doucement, il la lui prends et la mets sur ses genoux. Il se met à caresser ses cheveux. Elle se calme. Il l’entend à sa respiration moins saccadée et moins rapide.
Il croit qu’elle dort alors…

Elle :

« J’y… J’y crois pas… Il m’a prise dans ses bras, il m’a prise dans ses bras !!
Cela veut-il dire qu’il tient assez à moi pour être sensible à mon désespoir ?
Cela veut-il dire qu’il y a des chances pour que notre relation ne bouge pas ?
Si seulement cela pouvait être vrai…

Oh, mais… mais il mets ma tête sur ses genoux !!
Et il commence à me caresser les cheveux…
C’est fou comme ce contact peut me faire du bien.
Mais en même temps, cela me fiat souffrir, car je sais qu’il fait ses gestes en pensant ‘ amitié ‘ et non amour.
Mais pourquoi vouloir ce que je n’aurais jamais ?
Je dois m’y résoudre.
Il tient déjà assez à moi pour ne pas me laisser tomber alors que d’autres le ferait.

Ses caresses m’apaisent. Je sens que je me calme.
Je veux profiter de cet instant, le plus possible.
Mais comment ?
Je sais, je vais fermé mes yeux et me laisser faire. Me calmer et me concentrer sur mes émotions.

Il se lève. Pourquoi ? Où va-t-il ? Que va-t-il faire ?
Non, non pas déjà !
Je veux encore qu’il me caresse, qu’il reste prés de moi
Je l’aime… pitié.

Je ne bouge pas, je veux me souvenir le plus possible de ce contact physique.
Je le sens qui passe devant moi.
Je le sens aussi… s’agenouiller ?

Il reprend ses caresses. Que sa me fait plaisir.
J’ai les yeux clos et je suis calme, il doit croire que je dors.
Tant pis, je continue à lui faire croire cela, je verrai bien ce qu’il va se passer.»

Lui :

« Je m’agenouille devant elle.
Elle dort, elle ne saura rien de ce qui va se passer.
Je la re-caresse.

Tu es si belle mon amour.
Pardonnes moi le mal que je t’ai fait.

Tu dors, je vais en profiter.
Je vais faire ce que je souhaite faire depuis si longtemps déjà.
Je vais t’embrasser.»

Il approche alors doucement ses lèvres des siennes et commence à l’embrasser.

Elle :

« Il m’embrasse !!
Il m’embrasse !!
Que de bonheur !!
Il doit faire cela en me croyant endormi… Et bien non, il va devoir assumer car moi, je ne compte pas le laisser me prouver qu’il m’aime en me croyant inconsciente. »

Alors doucement, elle ouvre les yeux. Il a les yeux fermés.
Elle se redresse jusqu'à être assise, lui la suit, ne décrochant pas ses lèvres des siennes, mais involontairement.
Elle va plus loin encore, se levant entièrement.
Absorbé par le baiser, il se lève aussi, sans s’en rendre compte.

Elle encercle son cou avec ses deux bras, comme si elle le rendait prisonnier de cette barrière humaine.
Il semble se rendre compte que quelque chose à changer (un concurrent a Jeyn xD, aussi bête que lui), il ouvre les yeux et croise le regard de Tillu.

Il se détache d’elle alors et lui dit :
- Excuse-moi… Ca... ça m’a échappée.

Tout en sachant qu’il ne pensait rien de tout cela, et qu’il l’avait fait de bon cœur.
Les larmes de Tillu recommencent à couler.

Alors, il décidé de laisser son cœur parler et reprit :
- Excuse-moi. Je n’ai que te mentir….

Il la serre contre lui et l’embrasse timidement.
Sa haute taille fait qu’il doit baisser la tête (vive les torticolis après xD).
Elle l’encercle de ses bras à nouveau, puis amène sa main dans ses cheveux, appuyant légèrement pour approfondir leur baiser.
Tillu entrouvrit légèrement sa bouche pour laisser sa langue sortir, et s’entreprit de faire céder le barrage d’ Heckram. Celui-ci la laissa volontiers entrer. Ils s’amusèrent ensemble à essayer de toucher la langue de l’autre, jouant comme au loup avec elles. Dés qu’elles s’apprêtaient à rentrer en contact, il la retirait, obligeant l’autre à se relancer dans cette « course de langue ».
Finalement, Heckram réussit à chopper celle de Tillu et ensemble, ils mélangèrent leurs salives, tournant leurs langues à l’unisson.

Dans ce baiser, Tillu fit passer tout son amour à Heckram et lui de même.
Tous ces moments passés à se retenir firent que ce baiser devient de plus en plus fougueux et dura longtemps.

A la fin, Heckram lui proposa de rester toute la nuit chez lui.
Elle accepta.



Fin du premier chapitre ^^

Deuxième chapitre :


Elle :

« Il m’a embrassé !! C’est comme dans un rêve. Il m’a aussi dit qu’il m’aimait.
Je crois que je ne réalise pas encore bien. Je vais passer la nuit chez lui.
Ce n’est pas la première fois, mais pourtant, cela me retourne le ventre.
Je n’avais jamais éprouvé cela. C’est un sentiment bien étrange.
J’espère que cette nuit, nos corps s’uniront. J’aimerais tellement que cela arrive.
Combien de fois ai-je rêvé de ce moment ? Ce moment unique qui me fera basculer dans un état profondément personnel… Cet état que seul Heckram peut me faire atteindre.

Et si… et si je le décevais ? Je n’ose pas l’imaginer.
Et si il ne m’aimait pas ? Si il se servait de moi pour assouvir ses pulsions masculines ?
Non… Il n’est pas comme çà. Lui, c’est Heckram…
Heckram… l’homme de ma vie.

L’homme qui ne me décevra jamais.
L’homme qui fait battre mon cœur comme aucun ne ‘a fiat ni le fera jamais.
L’homme sans qui mon existence sur cette terre ne vaudrait pas la peine d’être vécu. »
Lui :

« Mais quel idiot ! (Quand je le dis qu’il ressemble à Jeyn xD)
Maintenant, je ne peux lus reculer. Elle doit déjà penser que nous le ferons, que nous sortirons ensemble.
Mais merde quoi ! C’est mon amie.
Ok, je l’aime, elle m’aime, on s’aime.
Mais est-ce que notre amitié tiendra le coup ? J’ai si peur de te perdre mon ange.»

- Euh… Tu dors sur le divan ? (Tss, mais quel boulet lui)

L’air de Tillu lui fit comprendre qu’il avait dit une boulette (de riz :lol : * je sors *).
Cependant, cette dernière rétorqua :
- Comme tu veux.

Il hésita, puis ajouta :
- Si tu préféres dormir dans mon lit… Pas de problème…

Son visage s’illumina. Un sourire blanc s’incrusta sur sa figure angélique.
- Je préférerais oui.

Elle :

« Niaaaa, je vais dormir avec luiiii. Waouh, mon cœur n’a jamais battu aussi vite.
C’est… inexplicable. Les sensations que je ressens, comme des papillonnements dans le ventre.
J’ai peine à y croire. C’est si formidable et si inattendu !!! »

Le reste de la journée se passa tranquillement.
Ils le passèrent devant un film. Elle était assisse sur ses genoux. La main d’ Heckram caressait doucement la sienne. Elle était aux anges.
Heckram n’arrêtait pas de lui faire des petits bisous dans le cou, de lui murmurer des « je t’aime ». Il était doux avec elle.

A la fin du film, elle s’était retournée, de sorte que ses jambes encerclaient Heckram.
Elle avait mis ses mains sur ses joues, a plats.
Elle avait penché sa tête et amené ses lèvres sur celle d’ Heckram.
La séance des baisers langoureux avait commencé.

Au bout d’une heure, il s’était séparé pour aller manger.
Pendant le repas, ils n’avaient cessé de se regarder, de se faire du pied.
Leurs regards exprimaient clairement le désir qui brûlait en eux.

- Tu viens avec moi ? Avait-il demandé à la fin du repas.

Elle l’avait suivi, main dans la main.
Ils étaient arrivés dans sa chambre.
Et là, elle était resté bloquée, n’osant plus bouger, tandis que lui s’était assis sur son lit.
Elle ne l’avait jamais fait, elle avait tout simplement peur.

(Passage recopié d’un livre qui me plait bien avec quelques nombreuses modifications * vi vi, je triche, honte à moi *)

- Qu’est-ce qui ne va pas ?
Le ton plein de sollicitude d’ Heckram brisa les dernières réticences de Tillu.
Elle entra dans sa chambre, le regardant dans les yeux, laissant paraître ouvertement son désir.
Elle vit les yeux d’ Heckram s’écarquiller et sa propre envie s’afficher.
Elle s’approcha de lui qui leva très lentement sa main pour la refermer autour de sa nuque et l’attirer vers lui.
D’abord, il goûta l’odeur de sa peau, puis sa saveur. Sa bouche était tiède, un peu timide malgré le fait que se ne soit plus la première fois qu’ils s’embrassaient.

« Une sensation délicieusement saisissante » pensa-t-elle alors.

Quand un bras se referma autour d’elle pour l’attirer plus prés, son corps n’opposa aucune résistance.
Elle cessa de réfléchir et alla à la rencontre de sa bouche. Le temps s’arrêta.
Placée au-dessus de lui, elle oubliait leur différence de taille et profitait pleinement de ces instants de pur bonheur.

Elle se perdit en lui, passa une main sous son tee-shirt.
La peau de son torse était tiède sous ses doigts.
Elle entreprit de retirer son tee-shirt.
Puis, Tillu quitta sa bouche et effleura la poitrine plate de ses lèvres, regardant le duvet d’ Heckram s’hérisser à son contact.
Elle laissa ses doigts courir le long de la ligne centrale de son torse, sur son ventre jusqu’au nombril, puis entendit Heckram retenir son souffle lorsqu’elle posa la main à plat plus bas.

Sa transe en fut brisée et elle leva la tête, arrêtant tout geste.

(Fin du recopiage-trichage xD)


- Qu’est-ce qu’il y a ?
- Je… je ne suis pas prête… désolé…

Le visage d’ Heckram devient dur, contrairement à ce qu’elle aurait pensé.

- Attends. Tu me fais quoi là ? Tu crois que tu peux m’allumer et arrêter tout comme ça ?
- Mais… Je t’ai expliqué pourquoi…
- Attends, tu te méprends là ! C’est pas possible. Si encore t’avais rien fait, sa passe, j’aurai compris. Mais tu me fais croire que t’es prête alors que c’est faux ! Sa te serre à quoi de faire semblant que t’es prête ? Tu penses que je suis un de ces types qui ne pense qu’à ça ? Dégages ! Tu m’entends : D-E-G-A-G-E !

Tillu commença à pleurer.
Elle y avait cru sincèrement. Elle avait cru qu’elle pourrait le faire, elle s’en était sentie capable. Mais au final, toutes ces impressions n’étaient que des leurres, des pensées qui étaient là pour qu’elle s’en persuade au fond d’elle.
Rien que des impressions… Des illusions…
Lui :

« Voila, c’est fait, je me suis fait passé pour un gros con.
Je regrette déjà. Tillu, si tu savais comme j’ai mal… J’ai brisé mon cœur, pour toi, pour nous.
Il vaut peut-être mieux que notre histoire s’arrête là, pendant qu’il en ait encore temps.
Nous pourrons rester plus facilement ami.
Je tiens trop à toi pour risquer cela.
Pardonnes-moi.

Mon cœur te crie de rester, ma raison non.
Je dois m’y faire.»

Et dans un souffle, qu’elle n’entendit pas, il murmura :
- Je t’aime…

Fin du deuxième chapitre ^^

Troisième chapitre :


Lui :

« Voila deux jours que je suis sans nouvelle d’elle.
Son absence me pèse. Je ressens comme un vide au fond de moi.
La nourriture me dégoûte, je me sens dépérir.
Sans son sourire, sans sa voix claire et douce, sans son odeur et sans sa peau, je ne suis rien.
Je ne peux plus le nier, le sentiment que j’éprouve à son propos est plus fort encore que l’amour lui-même. Je l’ai peut-être rejetée trop durement.
Je m’en veux. Je pensais bien faire, je n’ai fait qu’empirer la situation.

Tillu… si tu savais…
Je n’ai plus envie de rien, si tu n’es pas près de moi.
La vie elle-même me dégoûte. Mais le pire, c’est moi.
Je ne supporte plus de me voir dans un miroir.
C’est toi qui me faisais m’aimer, c’est toi qui es à la base de ma vie.
C’est toi ma seconde moitié…
C’est toi que j’aime. »

Elle :

« Déjà deux jours sans lui.
C’est bizarre, tout est bizarre, je suis bizarre !

* Luc’ : expliques-leur pourquoi tu dis sa idiote, sinon ils vont pas te comprendre
Tillu : Hiii désolé !! T’as raison
Luc’ : Comme d’hab xD
Tillu : Donc je reprends : *

Je suis bizarre…
Il m’a jeté comme une moins que rien, et pourtant, j’ai envie de le revoir.
Au fond de moi, il me manque.
Deux jours que je ne fais rien a par pleurer comme une pauvre fille abandonnée de tous sur mon lit…
Mes parents m’ont questionnés, je ne leur aie rien dit, mais je crois qu’ils ont compris.
Je m’en fous d’eux.
Moi, ce que je veux, c’est Heckram...

Cette situation a assez duré…
Bouges-toi ma vieille… Fais bouger les choses.
Ok, j’ai le cœur en miette…
Mais plus pour longtemps. »

Lui :

« Le téléphone sonne.
Je ne vais pas répondre, pas la peine de bouger.
Le monde peut bien s’écrouler, sans elle, rien n’a d’importance.

4 sonneries déjà.
Bientôt, l’interlocuteur tombera sur le répondeur.
Sa sera encore un message d’une importance moindre, vite effacé.

Si seulement j’osais l’appeler… M’excuser, juste çà. »


‘ Bonjour, vous êtes bien sur le répondeur d’ Heckram… J’ suis pas là pour l’instant, laissez un message avec le bip sonore ‘
‘ Biip’
‘Euh… Allo Heckram, c’est Tillu… Je sais que tu m’en veux pour ce que j’ai fait… Mais, je tiens trop à toi pour ne rien tenter pour préserver notre amitié… Je m’en veux… S’il te plait, rappelles-moi…’


« Je n’y crois pas… Elle m’a appelé…
Malgré mon ignoble comportement, elle m’aime encore !!
‘Je m’en veux’, mais de quoi s’en veut-elle ? C’est moi qui aie tout fait foiré ! Pas elle !
Cette fois, je ne laisserait pas passé la chance de ma vie !!»

Elle :

« Ca y’est, je l’ai appelé. Maintenant, il ne me reste plus qu’à attendre et espérer.»

Elle alla prendre une douche. Elle avait décidé de faire bouger les choses, de se remettre d’aplomb, elle y arriverait.
Et seule une douche pourrait laver sa tristesse, l’épurer.

Une fois la douche prise, elle décida d’aller faire un tour au centre-ville, histoire de se changer les idées en faisant du lèche-vitrine.
Elle revient à 18 h 30, après avoir débourser pas mal d’argent.

En chemin, elle avait rencontrer un vieil ami à elle Jeyn, qu’elle n’avait pas vu depuis ses 8 ans. (Dizoulé, ce fut une envie subite xD *)
Ils avaient parlés tout deux. Cela lui avait fait le plus grand bien de le revoir.
Elle lui avait donc proposé de venir manger chez elle le soir même.

A peine était-elle rentrée de chez elle que quelqu’un sonnait à sa porte.

« Ah zut, il est en avance T__T. Pas eu le temps de préparer les gâteau apéritifs.
Tant pis, j’vais me débrouiller.»

Elle se dépêcha d’aller ouvrir.

- Ouii, j’arrive Jeyn !

Elle ouvrit et…

- Heckram ??

Fin du troisième chapitre ^^

Quatrième chapitre :

Lui :

« Ca y est, je suis en face d’elle. Que ça fait du bien de la revoir.
Revoir ses traits si fins, son visage qui m’avait tant manqué.
Je redoute sa réaction lorsque que son étonnement s’effacera.
Comment va-t-elle réagir ? Va-t-elle se réfugier dans un mutisme étouffant ? Va-t-elle au contraire ‘’ me sauter dans les bras ‘’ ?
J’ai peur que la première solution soit celle qu’elle prenne…»

Elle :

« Il est là, devant moi.
Il est venu me voir, effacer ses gestes pour repartir sur de bonnes bases, ensemble.
Il tient à moi… Pas de la façon que je voudrais… Mais l’important c’est que je compte pour lui.
Il est venu…
J’ai envie de pleurer, de joie, de soulagement. D’évacuer le stress, la peur de ces derniers jours abominables…»

Alors, doucement, Tillu s’élance vers lui et le serre dans ses bras frêles.
Elle le sert, non pas comme une femme enlace son amant, mais comme une sœur enlace son frère, ou une amie qui enlacerait son ami.
Elle l’enlace, et pleure.
Un énorme poids disparaît de sa poitrine.
Il est près de lui, elle est heureuse.
Elle prie intérieurement pour que cet instant dure des heures.

Lui :

Il la prend dans ses bras.
Il n’ose pas interrompre ce moment. Enfin plutôt, il ne veut pas.
Il réalise véritablement pour une fois, qu’elle est tout pour lui.
- Pardonnes-moi.

Elle lève son visage inondé de larmes et le regarde droit dans les yeux.
- Je n’aurai jamais du insister. Je ‘n’aurai jamais du t’avouer mes sentiments.
J’ai failli te perdre à cause de ça.
Je suis la seule fautive...

Elle culpabilisait pour rien.
Il savait cela, et savais qu’elle en souffrait.
Il ne voulait que son bien.
C’est pourquoi...
- Je n’ai pas à te pardonner.

Et avant qu’elle ne réplique, il continua :
- C’est le contraire, c’est à toi de me pardonner.
Oui, pardonnes moi de t’avoir menti en disant que je ne t’aimai pas.
Pardonnes-moi.

Elle mis du temps avant de réaliser ce que veniat de dire Heckram.
Ses mots étaient sincères. Tillu le sentait.
Ainsi, il l’aimait !!
Mais alors, pourquoi avoir menti ?

- Pourquoi m’as-tu menti ?
« Ca y est, les représailles vont commencer ».
- Je... j’avais peur de te perdre.
Il se mit à pleurer, sans savoir pourquoi.
Peut-être, parce que ces simples mots révélaient son amour.
Peut-être parce que ces simples mots disaient tout l’amour qu’il avait pour elle.
Et aussi, parce qu’avec ses simples mots, il se mettait à nu.

Elle :

Cette fois, elle en était sure, il l’aimait et regrettai ses paroles.
De toute évidence, il ne pouvait vivre sans elle, et inversement.
Cette fois, elle en était sure : ce serait avec lui, et pas avec un autre.
A cet instant même, elle se sentait prête.
Prête à lui prouver son amour.
Prête à LE faire avec lui.
Mais avant, elle voulait être sure, sure qu’elle ne faisait pas fausse route.

- Je t’aime... lui souffla-t-elle.
- Moi aussi.

Leurs yeux brillaient. Ensemble, ils étaient heureux.
Ensemble, c’est tout.
Rien que ça.

Elle se retira de ses bras, lui prit la main, et ensemble, ils entrèrent dans la maison.
Elle se souvint alors brutalement de Jeyn.
Il devait venir d’une minute à l’autre.
Tant pis, Jeyn : elle s’en foutait.
Elle voulait le faire... maintenant.

Elle ferma la porte. Après tout, qui lui garantissait que Jeyn n’entrerait pas à l’improviste.
Mieux valait prévoir que guérir.

Elle attira Heckram vers elle, mis sa main derrière sa nuque et l’attira à elle.
Tillu posa ses lèvres sur celles d’ Heckram, l’obligeant à se baisser à sa hauteur.
Puis, elle se mit sur la pointe des pieds et approcha ses lèvres de son oreille :

- Je me sens prête...
- Euh... tu es sure de toi ? Te forces pas, tu sais, je peux attendre.
- Heckram, je le suis. Je te veux, maintenant.

Elle l’embrassa langoureusement, dans un long baiser puis prit sa main et l’emmena à l’étage, dans sa chambre.

Ils commencèrent à s’embrasser, chaque baiser étant plus intense que le précédent.
Tillu ferma la porte d’un coup de pied, puis passa sensuellement la main sous le tee-shirt d’ Heckram.
Celui-ci enleva son tee-shirt et le jeta par terre.
Puis il entreprit de retirer la longue robe que portait Tillu.
Elle finit elle aussi par terre.

Ils reprirent leurs baisers fougueux...



Fin du quatrième chapitre ^^


PETIT LEMON ( premier de ma vie, soyez indulgent ):


La chaleur montait vite.
Ils étaient tout deux bouillonnant de désir.

Heckram emmène une Tillu en sous-vêtement vers le lit et l’y allonge.
Il grimpe sur elle et caresse lentement ses mamelons devenus dur grâce à l’envie, tandis qu’elle approche timidement ses mains de ses fesses.
Elle passe sa main sous son boxer pour les palper.
Puis, poussée par la curiosité, elle descend sa main pour toucher le sexe de son compagnon. Celui-ci est devenu dur et pointe sous le boxer.

Tillu entreprend alors de lui retirer pour libérer Heckram de l’étreinte du boxer trop serré.
Celui-ci la laisse faire toute seule, car pendant qu’elle accompli le sauvetage du pauvre petit (pas si petit que sa :lol : * je sors *), il se bat contre le bas de Tillu.
Une fois leurs deux missions accomplies, ils se regardent en souriant et reprenne leurs ébats amoureux.

Tillu trouve la force de faire tourner les choses : elle devient ainsi la dominante.
Elle se pencha vers Heckram et commerça à l’embrasser dans le cou, descendant sur son torse brûlant. Il se laissait faire, ne bougeant pas et profitant de cet instant.
Elle descendait doucement, le faisant languir.
Et lorsque qu’il croyait qu’elle allait commencer à lui embrasser l’endroit ‘’sensible ‘’, elle remonta pour l’impatienter.

Il émis un grognement de mécontentement, ce qui eu pour effet de la faire rire.
Il décida que cela suffisait, et repris les choses en main.
Il la serra contre lui et ils tournèrent.

Il commença à l’embrasser comme elle l’avait fait, à la différence que lui ne l’a fit pas patienter et descendit.
Puis sachant que c’était sa première fois et ne voulant pas lui faire de mal, il s’assura qu’elle était dans de bonnes dispositions en insérant un doigt.
Le terrain étant prêt, il lui murmura : « Ne t’inquiète pas. » et rentra en elle.
Elle eut mal, mais cela passa vite : il était doux avec elle.

Il commença ses mouvements de va-et-vient.
Au début, sa respiration (celle de Tillu) ne fit qu’accélérer, puis enfin, vient le moment de jouissance pour tout les deux.

Ils continuèrent leurs ébats, puis, fatigués, arrêtèrent.
Tillu était heureuse, Heckram venait de lui démontrer son amour.
Son rêve s’était concrétisé.
Pour Heckram, s’était la même chose.

Avant se s’endormir, il lui redit : ‘’Je t’aime’’.


FIN.




A la base, je l'ai ecrit pour un autre forum.
C'est assez long, donc si vous lisez ces lignes, bravo xD

Hihihi ! Mais non c'est pas du courage de lire quand c'est tout joli^^

J'aime beaucoup ce que tu écris en ce qui me concerne

J'ai réussit a tout lire *si si c'est vrai XD* et j'ai trouvéça super , j'aime beaucoup le faîte de voir la visio des deux personnage .
C'était très intéréssant .