decouverte du condo

Elles étaient aparamment arrivé la ou sa maitresse voulait l'ammener.
C'était une maison, assez belle. Du vrai luxe pour Noriko qui n'avait connue que la rue, enfin presque.

Elle vit l'autre faire le tour de la maison.
Au fond, elle l'aimait bien. Elle n'était pas bavarde et semblait gentille.
Toutefois, de son statut, elle la dominait, et Noriko avait horreur de cela.

Elle vit l'inconnue se diriger vers une piece et ne plus en ressortir.
Elle s'avança, aperçue un lit, et elle dessus.

" Et moi ? J'dors ou ? J'fais quoi ? "
Elle était consciente de la déranger, mais cela n'avait guére d'importance.
Elle vit l'autre soupirer.

Cependant, Noriko ne l'entendait pas de cette oreille.

" Trés bien, alors si Mademoiselle dort, moi je m'en vais... Adieu. "

Pas de réponse. Vexée et voulant profiter de ce luxe, Noriko jugea préférable de ne pas le faire... Du moins, pour l'instant.

Elle sortit de la chambre, fatiguée elle-aussi.
Elle fouilla toute la maison à la recherche de quoi manger, décota du pain et en mangea.
Puis, elle chercha un lieu ou dormir.
Elle trouva une chambre d'amie, belle, avec un lit qui semblait trés confortable. Mais pas une chambre d'esclaves, hélas. Enfin...

* Ce lit qui m'apelle. Ah, je peux pas... Sauf que... Je lui est demandée ou dormir, et elle n'a pas répondu alors... je peux bien... juste une nuit *

Elle s'y coucha, et s'endormit profondément.

Une douce odeur chatouilla les narines de Noriko.
Elle n'eut que le temps d'ouvrir les yeux pour apercevoir sa maitresse sortir de la chambre, sur la pointe des pieds.

Elle tourna la tete vers la provenance de cette odeur plus qu'alléchante et vit un plateau avec de nombreux mets.
Elle souria.
C'était la premiére fois que quelqu'un la traitait comme cela.

Bien que cette idée la repugne, elle choisit de faire son mieux pour aider cette autre personne, toujours inconnue d'elle.

Elle alla chercher le plateau, le prit et s'assit sur le lit.
Elle mangea tout, ne laissant que quelques miettes.
Puis elle sortit de la chambre, essayant de se faire discréte.
Elle ne voulait pas le reconnaitre, mais un face à face avec l'individue qui partageait ce toit avec elle lui faisait un peu peur.
Qu'allait-elle lui demander en échange de la nourriture qu'elle lui donnait, de l'hebergement luxueux dans lequel elle la plongeait ?

Avec hésitation, Noriko s'approcha d'elle.

" Ce... ça va ? "

Elle se recula, ayant peur de recevoir un coup.
L'autre lui sorit et lui fit signe que oui, ça allait.
Ne sachant que faire elle opta pour une solution qu'elle espérait etre la bonne.

" Je ne vais pas vous déranger plus. Si vous me cherchez, je serais dans ma chambre, en attente de vos ordres, maitresse. "

Elle fit la révérence et partit s'enfermer dans sa chambre.
Elle s'assit sur son lit, puis se souvient de son canif.
C'était un cadeau de son pére, qu'il lui avait donné alors qu'il était mourrant.
A ce souvenir douloureux, elle se mit à pleurer.

Salut ! alors tu t'es bien amusé ?

Ces paroles la sortirent de la reflexion intense dans laquelle elle était plongé.

* Oh non, pas lui *

Elle se leva du lit et courrut vers la porte. Dans ses yeux, on pouvait libre la frayeur. Cependant, il l'attrapa par le bras et lui souris.

" Non non non, tu reste ici toi. "

Des larmes commencèrent à couler le long des joues de Noriko.

" Hé, pourquoi tu pleures ? "

Elle le regarda, étonnée. Il continua.

" Désolé pour hier. J'étais un peu bourré et j'me controlais pas. Tu m'excuses, hein ? "

Elle n'y croyait pas. C'était la seconde personne qui était gentil avec elle. Elle pleura de joie. Elle n'avait pas l'habitude d'etre considéré comme un être humain à part entiére.
C'était... bizarre.

Tout à coup, la porte s'ouvrit sur l'inconnue qui l'avait acheté.
Elle semblait en colére et fit sortir l'autre. Elle revient avec un mouchoir qu'elle lui tendit.

" C'est pour moi ? "

L'autre se mit à rire devant sa naiveté.
Noriko prit le mouchoir et s'en servit.
Dans ses yeux, on lisait le remerciement.

" Mon canif ? Rends moi mon canif ! "

L'autre paru hésiter. Noriko aurait pu le lui prendre de force mais elle l'aimait et commençait à la respecter.
C'est pourquoi Noriko lui raconta pourquoi elle le voulait.

" C'est un cadeau de mon pére... Il est mort. J'y tiens. C'est un souvenir. S'ilte plait "

Et voila, elle repleurait. Elle ne faisait que ça. Etait-elle aussi faible que ça ? Pour pleurnicher à tout bout de champs ?

* Faut que j'arrete de pleurer moi, à force l'autre risque de me batter *

" Pour mon canif alors ? Tu me le donneras ? "

Elle lui rendait son canif et ne semblait pas vouloir la battre.
C'était la premiére fois qu'elle voiyait un maitre se comporter ainsi avec un esclave.

" M.. merci "

C'était peu de chance mais elle se sentait redevable.
Elle se leva du lit et se dirigea vers la porte.
Elle mis ses mains sur la pognée, et alors qu'elle s'appretait à sortir, elle lui lança :

" Mon nom... C'est Noriko "

Elle n'attendait pas de connaitre celui de sa maitresse.
Ce n'était pas à elle de juger quand sa maitresse devait lui parler.
Ce n'était pas elle qui commandait.
Elle sortit et referma la porte.

Noriko l'entendit l'apeler pour qu'elles aillent ensemble acheter des vetements.

" J'arrive maitresse. "

Elle se depecha de finir ce qu'elle était en train de faire - à savoir astiquer son canif dont elle prenait soin comme la prunelle de ses yeux et le rangea dans sa poche.

" Euh... "

Elle hésita à demander ce qu'elle allait demander.
Elle était sure que l'autre se moquerait d'elle.

- Oui ? ( excuse moi, je fais parler ton personnage, si sa te dérange j'enleverais, y'a pas de probleme )

Maintenant, elle était obligé de parler.

" Faut-il que je prenne des sacs pour mettre vos achats ? "

Elle la vouvoyait car pour elle, c'était son devoir et parce que le respect s'installait petit à petit.
Elle l'avait tutoyé, certes, mais elle était alors en colére.

( lol nan ca va )

Aya la vit arriver, et l'entendit l'apeler maitresse ce qui lui donna un air surpris. mais c'est quand elle lui posa cette question qu'elle explosa literalement de rire. Porter ses sac ? Elle pouvait bien le faire elle meme. Et puis elle la vouvoieait maintenant et ca lui faisait bizarre.

Pardon...nan tu n'auras pas a faire ca.

Elle riait encore un peu et alla chercher une veste dans une armoire pour la mettre sur les epaules de l'esclave.

Et puis laisse tomber les vous et les maitresse, c'est Aya et tu. Met ca ou t'auras froid.

Elle se dirigea ensuite vers la porte et sortit avec l'esclave avant de fermer l'apartement a clée. Elle se dirigea ensuite vers le magasin de vetements.