La chambre de Misaki

Noriko était donc allé préparer la chambre de Misaki.
Elle en avait choisi une assez confortable avec un perron.
Elle fit le lit tout en pensant...

* Elle a l'air d'etre pas si gentille que sa. Je me demande pourquoi... Peut-etre a-t-elle eu un passé difficile. C'est dommage, je me sens seule ici. a part Aya, je n'ai aucune amie. *

Cette pensée la fit souffrir.
Elle n'était pas seule depuis qu'on l'avait achetée mais depuis qu'elle était née. Le mot amitié, elle n'en connaissait que le sens.

Lorsqu'elle eut terminée, elle sortit et alla rejoindre Aya et Misaki dans le salon.

Misaki n'avait pas faim ce soir. Au lieu d'aller dans la cuisine, celle-ci préféra allaer directement dans sa chambre à l'étage. La chambre, au premier coup d'oeil, lui plaisait très bien. Y avait même un perron !

*Enfin seul pour réfléchir.*

Elle alla au perron et observa les étoiles, perdus dans ses pensées. Chose qui lui arrive et lui arrivera très souvent. C'étais sa façon à elle de se vider de ses émotions. En particulier des négatifs.

-Vivement qu'elle accpete mon offre.

Maître Nombre de messages : 230 Date d'inscription : 24/08/2006

Aya ne fut pas tres surprise que la neko ne vienne pas diner. Elle avala vite son repas et remplit tout de meme une assiette pour Misaki. Elle monta sans faire de bruit et hesita a la porte. Elle devait l'admettre, elle lui faisait tres envie, mais bon elle n'allait quand meme pas la violer ! Il y avait aussi ce pari biensur, mais ca representait un risque.
Elle ouvrit la porte doucement et trouva la neko en train de regarder les etoiles, elle posa le plat et alla sans faire de bruit derriere elle pour l'enlacer.

Je t'ai aporté a manger, des fois que t'ai faim.

Misaki ne fut pas surpris de sentir Aya pénétrer dans sa chambre. Après tout, si elle était à sa place, elle aurait aussi eu du soucis pour son esclave et lui apporter.

Attendez ! D'ordinnaire, les maître ne se soucient presque pas de leur esclave. Alors, pourquoi Aya est venue ??? Une seule réponse clignotait dans l'esprit de la Neko. Cette réponse la fit rougir subitement.

Elle se laissa enlacer par sa maîtresse. Elle poussa un ronronnement.

-Merci.

Les mains de Misaki se balladèrent sur ceux de Aya un moment. S'en suivit de caresse.

-Au sujet du pari, je dois admettre que j'ai exagéré. J'aurai du deviner que jamais vous laisseriez tomber vos amis mauvais soit-il.

Maître Nombre de messages : 230 Date d'inscription : 24/08/2006

Aya vit la neko rougir ce qui la fit sourir doucement. Elle sentit ensuite les caresses sur ses mains et c'etait a son tour de rougir, mais ca lui plaisait beaucoup alors elle la laissa faire.

Ils ne sont pas si mauvais tu sait...

Elle aurait sortir de la chambre, elle devait sortir de la chambre mais ne le pouvait pas, elle continuait a faire des betise et ce dit que c'etait tres mal. Pourtant elle abaissa quand meme sa tete pour aller sucer la peau du coup de la neko.

-Pas si mauvais, vous dites ? J'espère voir ça un jour. Dans votre cas, je réalise que derrière vos mauvaises attitudes, se cache une merveilleuse femme.

Pour accompagner ses dires, Aya se mit à lui sucer le cou. Cela fit raidir la neko et pousser son tout premier gémissement. Elle guide les doigts de sa maîtresse vers sa bouche et les lécha tous. Très souvent, Misaki avait entendu parler de cette sensation que les gens éprouvaient quand ils étaient dans une situation de plaisir charnel. Ce soir, elle allait l'expérimenter avec Aya. Propablement.

Maître Nombre de messages : 230 Date d'inscription : 24/08/2006

Aya ecouta d'une oreille distrete ce qu'elle disait, trop occupé avec le coup de la neko. Elle sentit sa langue sur ses doigt et elle n'en pouvait plus de toute faocn. Elle se ferai la moral plus tard. Elle retourna la neko pour lui faire face et l'embrassa langoureusement en poussant un peu contre un mur.

Et qu'elle genre de......

Elle lui tena les bras au dessus de sa tete avant de l'embrasser dans le coup

Mauvaise attitudes ?

Aya se demanda si Misaki etait de nature domminatrice ou pas, si oui elle ne pourrais pas l'en empecher, et ce qu'elle avait vue tout a l'heure la laissait perplexe, vu son caractere.

Misaki avait eu la sensation de se faire foudroyer en sentant les douces lèvres sur sa bouche et sa langue frotter la sienne. Elle adorait ça. Le coeur commença à palpité très vite. Ses joues devinrent rouges comme des tomates mûres. Le fait d'être pousser vers le mur lui donna encore plus de plaisir.

-Quel genre ? Et ben..

En réfléchissant à la question, Aya venait de l'embrasser au cou.

-Quand tu es provocatrice avec les autres dans le but d'obtenir amusement et plaisir.

Ne se retenant pas, elle embrassa à son tour Aya. Celui-ci dura un peu plus long.

Maître Nombre de messages : 230 Date d'inscription : 24/08/2006

Aya s'amusa avec la langue de la neko un bon moment avant de lui enlever sa veste.

Dois je prendre ca comme un reproche ?

Elle parlait ironiquement bien sure, et c'etait marrant pour elle de provoquer les gens pour avoir ce qu'elle voulait.
Elle l'atira plus contre elle en la fixant et l'allongea sur le lit avant de s'eloigner un peu.

Mais j'arrete si tu veut.

Retirant sa langue, Misaki prit un air amusé.

-Non non, pas du tout. J'irai même jusqu'à dire que sa te va très bien, cette attitude-là. dit-elle honnêtement.

Les yeux dans les yeux, la neko si fit allonger sur son lit. La scène était absolument alléchant. Nombril en l'air , joues rouges et prenant de grande respiration, Misaki était d'une beautée fatale.

Elle tendit ses mains vers les hanches de Aya et lui fit baisser son pantalon.

-Je vous l'ai dit, j'accecpte de mon plein gré d'être votre jouet sexuel. Ne vous retenez pas, s'il-vous-plaît.

Maître Nombre de messages : 230 Date d'inscription : 24/08/2006

Aya ria un peu en entendant que cette attitude lui allait bien, ppourquoi pas, en tout cas elle etait bien trop occupée a detailler la neko qui etait tres apetissante a son gout, toute forme de remord ou decukpabilité etait partit, surtout lorsqu'elle sentit son pantalon baissée. Elle se pencha un peu plus mais se figea en entendant sa derniere phrase. Elle detourna le regard qui etait devenue plein de culpabilté. Elle se releva doucement, remit son pantalon et se dirigea vers la porte.

Tu devrais dormir.

Elle fila directement dans sa chambre et alla se recroqueviller dans un coin, aucune lumieres ne penetraient sa chambre et elle continuait de se dire qu'elle etait horrible de lui avoir fait ca. Dans un sens ellle l'avait surement forcé car sinon il n'y aurait pas eut la notion d'esclave, les neko ne ce rebellais jamais avec ce genre de choses peut etre qui. Et plus que tout elle ne voulais devenir encore plus mauvaise qu'elle ne l'etait deja, en ayant un.....jouet sexuel.

Oh non! Tout mais pas ça ! Voilà qu'en pleine extase, Misaki vit sa si belle maîtresse arrêter sn élan d'amour. Elle se mordit les lèvres.

-Si vous le dites. Si vous le dites.

Une fois seule, le jeune esprit de la Neko fut remplie de tristesse. Elle voulait vraiment le faire.
Elle ne se sentait aucunement forcée par sa maîtresse. Mais alors, pourquoi a-t-elle tout laissé tomber ?
Dans la noirceur de sa chambre, elle murmura:

-Aya. Je vous aimes tant.

Un ordre reste un ordre non ? Sans plus attendre, Misaki s'endormit. Le plus étonnant fut sa position sur le lit. Exactement comme l'avait laissé Aya.

Quand Aya avait présenté le projet à Noriko sur le triangle amoureux, Misaki comprit tout de suite qu'elle n'accepterait jamais. Côté profitable de l'affaire, Noriko ne voulait plus être avec son maître. Au lieu de s'en réjouir, la neko en fut un peu triste. C'est vrai ! Elle n'avait pas gagné équitablement le coeur de l'une d'entre eux.

*Rien ne se passe jamais selon mes plans, dans cette maison.*

Une fois le repas terminé, Misaki alla digérer tout ça dans sa chambre avec un joli roupillon, évitant sans le savoir la discussion à quelques pas. Sa n'a rien d'étonnant, puisque à l'animalerie, y avait rien dans les cages pour s'occuper. Elle s'est comme adapté à ce fait.

Maître Nombre de messages : 230 Date d'inscription : 24/08/2006

Lorsqu'Aya revint du jardin, elle etait plus enervée que triste. Il avait un sacré culot de vouloir l'ammener avec elle apres tout ca. Elle rentra dans l'aprtement traquilement et sans un mot.
Elle passa devant la porte de Misaki et se demanda si elle dormait encore. Elle rentra silencieusement et vit qu'elle avait raison. Elle souria puis se dirigea vers le lit et s'y assi. Elle caressa doucement la tete de la neko pour la reveiller.

Au contact de la main sur sa tête, ses oreilles félines se relevèrent comme si une guêpe venait de les piquer. En vérité, Misaki avait un sens du toucher plus dévellopé qu'un humain normal. Probablement à cause de tous ces produits du laboratoire.

-Bonjour, Aya.

Elle s'étira puis s'assit sur le lit. Elle détourna un peu son regard de Aya.

-Alors, comment va Noriko depuis ma proposition à la cuisine.

Maître Nombre de messages : 230 Date d'inscription : 24/08/2006

Aya regarda la neko bien s'etirer et lui dire bonjours. Son regard s'assonbrit un peu quand elle parla de Noriko.

Bof...elle est tres faché et ma dit, je cite " va assouvir tes desir avec elle ". Plutot brutal comme fin.

Aya soupira puis se frota la tete, elle ne savait plus quoi faire avec Noriko, la situation etait devenue impossible.

Tu as faim ?

Aya lui souria un peu faussement puis alla a la cuisine lui preparer quelque chose de mangeable. Elle revint dans la chambre avec des oeufs brouillés, du bacon grillé et un grand verre de lait.

Voila...

Ensuite elle se releva pour descendre dans le salon. Elle alla s'assoir sur le fauteuil et regarda la télé sans vraiment attentive a ce qu'elle regardait.

-C'est beaucoup trop, Aya.

Trop tard, Aya était déjà partie. Après avoir soupiré un bon coup, elle mangea tranquillement comme une bonne chatte son repas. Un balayage visuel de la chambre lui dévoila une télé. Cachée dans la noirceur de la pièce.

*Je savais pas qu'il y en avait une dans cette chambre.*

Et elle écouta durant la nuit la télé. Ellle pitonna les chaînes tandis que Aya s'amusait en bas avec son groupe. Misaki ferma la télé et enleva presque tous ses vêtements. Elle lui restait qu'une petite culotte un soutien-gorge. La neko s'endormit de nouveau.

Misaki ammena Noriko dans sa chambre.
Elle s'assura que personne n'étais dans le couloir et ferma la porte.

-Je veux règler mes comptes avec toi, sale petite garce !

Misaki donna un coup de pied à Noriko pour la faire tomber sur le lit. Elle lui lança un sourire peu rassurant et lui montra ses griffes pousser sur ses ongles.

" Ah oui ? Et que t'ai-je donc fait ? "

Elle n'avait pas peur de Misaki. Elle avait son canif sur elle, et elle savait que Misaki n'aurait pas le cran de la tuer. Oui, elle pourrait la griffée, lui faire mal... Mais sa vie n'était pas compromise.
Elle fit semblant de réfléchir, puis ajouta :

" Ah oui... Désolé si Aya ne t'aime pas comme elle aime... Mais tu vois... je n'y peut rien. "

Elle se montrait insolente, mais ne voulait pas que Misaki se sente supérieure à elle.

" Alors, que vas-tu me faire maintenant ? "

S'approchant d'avantage de Noriko, Misaki continu de lui sourire avec arrogance. Elle se sentait comme une chatte jouant avec son prochain repas, miss la souris.

-Oh ! Le jolie canif. Je ne sais pas pourquoi mais, ce genre d'arme ne fera jamais peur.

Avec une main et des gestes expertes, elle débarassa Noriko de son canif. En plus de ne pas être vierge depuis longtemps, Misaki savait se battre. Bon sang, qui était-elle par le passé ?

Quoi qu'il en soit, Misaki se retrouva dessu Noriko, griffes tous sorties.

-Je vais t'infliger un châtiment exemplaire. Sa t'apprendra à ne pas être parti de cette maison quand tu en avais l'occasion.

" Si tu crois que c'est parce que tu vas jouer un peu avec moi que je partirais, sache que je vais etre gentille et que je ne partirais pas... Comme cela tu pourras jouer aussi souvent que tu le désires. "

Arrogante jusqu'au bout, elle fit un clin do'eil à Misaki.

" Alors ? Contente ? "

Elle espérait qu' Aya vienne quand même la sauver, car presque personne n'aime se faire griffer et souffrir.
Mais ne voyant pas celle-ci arrivée, elle essaya de gagner du temps :

" Dis-moi, pourquoi veux-tu que je partes de cette maison ? "

-Moi contente ? Non ^^.

Misaki souleva la jupe de Noriko et avec force, fit pénétrer 3 doigts griffus dans l'esclave en déchirant par la même occasion sa petite culotte.

-Grâce à toi, Aya a failli devenir le genre de femme que j'aime. Mais, il fallut que tu interviennes de nouveau lui rechanger sa personnalité. Ta nuit de passion hier soir sera la dernière que tu feras !

Dans des mouvements de va-et-vien, les doigts provoquèrent des griffures très douloureuse en Noriko. Le sang coula de sa clitoris.

Noriko cria de mal. Elle sentait le sang couler, la peau se déchirait.

" Arrêtes... Arrêtes pitié... Arrêtes. "

Il fallait que cela s'arrête.

" Je... Je ferais ce que tu veux... "

Elle voulait que cela s'arrête. La douleur trop vive lui brulait.

" Pitié... Ce que tu veux "

Elle espérait que Misaki lui dirait ce qu'elle voulait et qu'elle s'arreterait.

-Vraiment ? tout ce que je veux ?

Elle cessa ses mouvements de doigts et les sortit de Noriko.

Elle embrassa Noriko avec la langue avant de caresser son visage

-Prend ton canif et va supprimer le chiot en bas.

En acceptant de faire ce que Misaki voulait, Noriko c'est jeter comme une inconsciente dans la gueule du loup.

Noriko ne pouvait pas le tuer, lui, ce chiot qu'elle aimait, ce cadeau d' Aya. Il fallait qu'elle toruve une solution, et vite.

" D'accord "

Misaki la lacha et elle sortit. Arrivée dans le salon, elle prit Inuki dans ses bras et dit :

" Je suis incapable de te faire du mal, mon petit bébé... Il faut que je trouve une solution.. "

Hélas, elle ne voyait pas ce qu'elle pouvait faire. La seule solution était la fuite, mais elle en avait marre de toujours fuir.
Il ne lui restait qu'une seule chose à faire... Libérer le chiot... Mais cela lui crevait le coeur.

" Tu sais que je t'aime toi ? "

En pensant à ce qu'elle allait faire, son coeur se serra et les larmes lui montérent aux yeux.

" Tu reviendras me voir, n'est-ce pas ? Désolé d'etre lache et de ne pas suporter cette douleur. Inuki... Petit chiot de mon coeur... reviens me voir ce soir, et les autres encore, je serais dehors à t'attendre... Je sais que tu es intelligent et que tu me comprends. "

Tout en parlant, elle l'avait caréssée. A la fin, elle lui fit un dernier bisous sur le front et ouvrit la porte.

" Bonne chance, Inuki... "

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