La chambre de Noriko

Noriko eut mal au début, mais la douler s'apaisa rapidement. Aya s'en redit compte car elle commença des mouvemnt de va-et-vient, vairant la rapidité et commença à ajouter d'autres doigts. Elle tenait paroles, elle était douce avec elle. Noriko quand à elle, reprit ses geste au niveau du clitoris d' Aya. Elle alternait entre mortillement des tetons d' Aya avec ses dents et coups de langue. Aya savait y faire trés bien, car au bout de quelques secondes, Aya poussa un ultime cri de bonheur. Elle cala encore plus sa tete sur son oreiller, fatiguée. Cependant, elle n'en avait pas fini avec Aya. Elle ne l'avait pas entendu crier et ne voulait pas que sa s'arrete avant. Elle continua donc sa gestuelles, allant d eplus en plus vite. Lorsqu'elle eut rassemblé assez de courage, elle entra doucement un doigt et refit les meme geste qu' Aya avait fait en elle. A la fin, elle avait trois doigt à l'interieur, et Aya lui donna ce dont elle revait...

Noriko était génée, mais heureuse.

" C'est... waouh... génial. "

Elle rougit :

" Mais je n'ai pas été à la hauteur, tu as tout donnée et moi presque rien. "

Quelques secondes passérent.

" En tout cas, tu m'as épuisée. J'espere que Misaki n'a pas trop entendue, je serais bien trop génée... "

Elle se tourna sur le coté, face à Aya :

" Merci, merci de m'avoir donné cela... "

Noriko s'endormit en pesant à cette nuit de folie.
Elle avait fait sa premiére, et avec une personne qu'elle aimait.
Elle était heureuse, et cela se voyait.
Elle dormit comme un bébé.

Le matin, lorsqu'elle se réveilla, elle avait encore ce sourire béat sur le bout des levres.
Elle se leva, préssé de retrouver Aya.
Elle la trouva, avec Misaki dans la cuisine.

" Bonjour Misaki, bonjour maitresse Aya. Comment allez-vous ? "

Ce n'est qu'aprés qu'elle remarqua qu' Aya et Misaki avait des expressions bizarres encrée sur leur visage.

Le fauteuil se révélant etre un rocking-chair, Noriko se balançait doucement.
Elle abaissa sa tete et regarda Aya sans la voir.
On aurait dit une folle, en pleine crise.
Elle ne parla pas, n'entendait meme pas Aya lui demandé si elle était encore faché, elle ne voyait que ses lévres bougée.
Elle était déconnectée de la réalité.
C'était trés bizarre d'ailleurs, tout ce qu'elle avait voulu, c'était ne plus souffrir et cet état " déconnecté, loin de tout " voulait-il dire que c'etait comme si pour elle, le monde entier la faisait souffrir ?
Elle n'ouvrit pas la bouche pour demander à Aya de répéter, ne fit aucun effort pour engager le dialogue.
Non, tout ce qu'elle faisait, c'était se balancer sur ce rocking-chair... encore et encore

Aya cria, ce qui " réveilla " Noriko.

Ca suffit maintenant, tu va continuer a agir comme une morte en faisant semblant de ne rien voir pendant que Misaki me prendra ? Pendant qu'elle me monopoliseras ?

Ainsi donc, elle voulait qu'elle se batte ? Oh non, Noriko ne lui donnera pas ce plaisir. Aya continuait de parler.

" Je pensait que tu m'aimais beaucoup. "

Noriko sentait Aya lui triturer les cheveux. Elle ne bougeait toujours pas.
Elle finit par lever les yeux vers Aya.

" Je t'ai aimé, le temps d'une nuit, maintenant c'est fini. Je ne t'aime plus. Et oui, je vais continuer d'agir comme une morte quand elle te monopoliseras. Une esclave ne doit pas s'occuper des affaires de sa maitresse, juste faire son travail. L'aurais-tu oublier ? Je t'ai deja assez monopolisée. Va donc assouvir ton désir auprés de Misaki et laisse moi dans mes pensées. "

Elle referma les yeux.
Aya tenait toujours le rocking-chair, mais Noriko passa au-dessus de cette contrainte et cette fois, elle fit se balancer son corps.
Elle commença à chanter, pour ne pas entendre Aya, au cas ou celle-ci lui parlerait.

" Etoile du soir scintille dans le ciel... "

Elle ouvrit une seconde fois les yeux pour admirer l'expression de frustration d' Aya. Et comme si elle la provoquait, elle continua sa parodie.

Noriko regarda Aya méchamment.

" Il me semble que tu aimes Misaki, pourquoi veux-tu mon accord ? Serais-ce pour avoir... la conscience tranquille ? Oui, c'est ça hein ? Trés bien, va avec elle, je ne t'en empeche pas. "

Elle lui avait répondu, un peu comme la célébre sybille de Delphes, sybille du Dieu Apollon. Ce n'était pas une égnime non, mais elle s'était arrangé pour ne pas donner sa réponse clairement. Elle n'avait pas dit oui, tout comme elle n'avait pas dit non.

" Trés bien, alors maintenant que tu as ta réponse, à moi de te poser une question. Dis-moi... Serais-tu d'accord pour que j'ailles vivre dans un hotel ? Vois-tu, j'ai le sommeil tranquille et lorsque toi et Misaki prendez du plaisir, je risque de ne pas pouvoir dormir et le lendemain, fatigué, je serais moins attentive et je pourrais casser la vaisselle. "

Cette phrase, elle l'avait dit car elle savait qu' Aya s'unirait avec Misaki. Pour elle, c'était inévitable et elle ne voulais pas etre temoin de ce spectacle.
Bien sure, elle aurait voulue répondre que non, elle avait fait tout ce cirque car elle était amoureuse, mais qu'aurais changé cette reponse ? alors elle continuait à fuir, pour ne pas souffrir...

" Tu m'aimes ? Oh, dommage, ce n'est pas réciproque... "

On percevait dans sa voix le mensonge. Elle n'avait aps réussi à se montrer assez convaincante. C'était dommage pour elle, elle avait raté une occassion de faire taire Aya.
Quand Aya lui dit de rester ici, celle ci souria.

" Alors, si je dois rester, c'est à une condittion... "

Elle attendait qu'Aya lui demande quelle condittion pour répliquer, en approchant son visage tout prés du sien d'une façon... assez provocante. N'importe qui aurait pensé que Noriko allait dire : " Prends-moi" mais au lieu de cela, elle dit tout autre chose.

" Achetes-moi des boules quiés "

Puis, elle se cala bien au fond du fauteuil et attendit la réaction d' Aya.

" Je.. je ne ments pas ! "

Voila, elle l'avait dit. Encore un mensonge.
Mais voila que maintenant Aya commençait à la toucher à des endroits quelques peu... intimes.

" Laches-moi. "

Elle ne savait pas quoi dire, elle se mordit la lévres inferieure pour ne pas laisser échapper un petit son. Il n'y avait pas à dire, Ayay savait trés bien y faire niveau sexualité.
Avant qu' Aya lui demande pourquoi elle s'empechait de crier, elle précisa :

" Ce n'est pas parce que tu me fais du bien que je t'aime et te désire. Meme si tu faisait sa à un chien, il japperait, alors ne t'imagine rien. Maintenant, laisse-moi en paix. "

Noriko se rendit soudain compte que si elle se laissait faire, elle se montrerait faible.
Elle repoussa la tete et la jambe d 'Aya en la poussant par terre. Celle-ci tomba tandis que Noriko se leva de son rocking-chair.

" Je t'ai dit de me laisser tranquille ! Je suis peut-etre ton esclave, mais je ne suis pas ton objet sexuel. Va voir Misaki si tu es en manques ! "

Elle lui avait hurlé cette phrase, à la différence que cette fois, elle la pensait. Elle se félicita intérieurement, car elle s'était montré forte et avait su résister à la tentation qu'incarnait sa maitresse.

" Maintenant, tu sors de ma chambre, tu va assouvir tes pulsions avec Misaki, et tu fais comme une bonne maitresse : tu reviens ce soir pour me fouetter jusqu'au sang "

La situation était comique : Noriko apprenant à apprendre à Aya comment devais se conduire une maitresse.

La, c'en était trop pour Noriko.

" Je t'ai dit que je n'était pas ton objet. "

Elle se dégagea complétement de l'etreinte d' Aya. Elle commençait à en avoir ras le bol qu' Aya insiste et continue.

" Et je n'aime pas que tu me touches. Je préférerais encore qu'un vieil ivrogne me violes dans des toilettes d'un restaurant miteux ! "

Pour se préserver d' un autre essai d'approche d' aya, elle sortit son canif.

" Alors, maintenant, je te le redis encore une fois : tu sors de ma chambre, tu va assouvir tes pulsions avec Misaki, tu reviens ce soir pour me fouetter jusqu'au sang et tu me laisse tranquille. Faudra-t-il que ce couteau fasse couler mon sang pour que tu t'arretes ? "

En effet, Noriko aimait trop Aya pour lui faire du mal et se menaçait maintenant elle-meme de se faire du mal si Aya ne sortait pas immédiatement.

' Elle est partie, enfin. Il aura fallut que je me menace pour qu'elle comprenne. tu vois petit canif, tu m'ait toujours d'un grand secours. '

Elle le rangea dans sa poche et allait partir se mettre au lit quand elle aperçut du sang par terre.
Elle ne s'était pas aperçue qu' Aya avait saginé car elle avait garder ses yeux fixé dans ceux d' aya alors que celle-ci se faisait cela.

' Petite idiode ! "

Elle se mit en chemise de nuit, et alla se coucher, meme si le soleil ne commençait qu'a peine à descendre dans le ciel bleu de cette journée.
Le face à face avec aya l'avait fatigué, autant phisiquement que mentalement et elle avait besoin de repos pour remettre ses idées en ordre.
Elle savait que si elle restait ici, la situation ne changerait pas.
Mais valait-il mieux qu'elle parte en abandonnant celle que son coeur avait choisir à Misaki ? Ou valait-il mieux souffrir et faire en sorte qu' Aya n'est ni Misaki, ni elle meme ?
C'est sur ces pensé que Noriko s'endormit.

Le boucan finit, Noriko put enfin avoir la tete libre.

" Sa fait du bien quand sa s'arrete "

Elle ferma les yeux.
A peine le temps de respirer, qu'une musique, cette fois plus douce et mélancolique prit le dessus sur le silence.

" C'est pas possible "

Bon, elle n'allait pas non plus faire la difficile. Cette musique ne lui vrillait pas dans les oreilles comme l'autre. Mais enfin, elle avait envie de dormir quand meme.

" La prochaine qu' aya sort, je me soule aussi et je dormirai comme un bébé... "

Noriko dormait et revait.
Elle se voyait dans sa chambre, en train de dormir. Aya venait doucement, marchant sur la pointe des pied, pour ne pas la réveillée, l'embrassait doucement. Noriko se révéllait, lui parlait et toutes les deux refaisaient l'amour, aussi intensément que la premiere fois. A la fin, Aya sortait une arme d'on ne sais où et tuait Noriko, de 3 balles dans le coeur.
Celle-ci se réveilla, haletante et en sueur. Tout au long qu'elle le voyait, son réve était devenu cauchemard. Que signifiait-il ? Qu'elle s'en voulait et qu'elle devait se méfier d' Aya, ne pas recraqur pour finir dans un sale état apres une seconde repousse de sa jeune maitresse ? Elle était pertubée par son reve. Ainsi, au fond d'elle-meme, Aya tenait un trops grand pouvoir qui risquait de la blesser lorsqu'elle le lui démontrerait ?
Elle se remise en position allongée, essayant vainement d'oublier ce reve idiot, du moins pour l'instant et de replonger dans un sommeil réparateur.