La chambre de Noriko

Maître Nombre de messages : 230 Date d'inscription : 24/08/2006

Alors c'etait pour ca, elle pensait qu'il y avait quelque chose entre elle et Misaki. Elle aurait dut s'en douter aussi. Mais son point de vue n'avait pas changé, c'etait trop risqué.

Ha.........alors ne t'en fait pas, il n'y a rien entremoi et elle.

Elle lui souria mais ne voulu pas qu'elle coupe la discussion en s'endormant.

Héhé t'endors pas. Tu sait je siuis pas sure de pouvoir avoir ce genre de relation avec qui que se soit de toute facon.

Aya ne pensait pas a mal en disant cela mais elle le disait avec une attitude tres je m'en foutisme, sans se dire qu'elle pourrais blesser des personnes en s'exprimant aiinsi.

" Il n'y a rien entre vous ? Pourtant ce baiser que j'ai surpris... "

Elle n'était pas sure qu'Aya soit sincere, mais elle voulait y croire.

" Au fait, quand pourrais-je me lever ? J'ai passé la journée dans ce lit, j'aimerais bien amrcher un peu... J'me sens inutile, j'aime pas sa. '

Puis, elle " capta " les paroles d' Aya :

"Tu sait je suis pas sure de pouvoir avoir ce genre de relation avec qui que se soit de toute facon."

Ainsi, elle ne l'aimait pas et ne l'aimerais sans doute jamais...
Noriko vit que cette pensée lui faisait du mal et décida de prendre de la distance par rapport a Aya, pour ne pas souffrir plus.

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Elle devint un peu nerveuse a l'evocation du baiser de tout a l'heure. La neko l'avait bien eut sur ce coup mais elle devait admettre que ca ne lui avait pas deplut et retenterais bien l'experience. A cette pensé elle se secoua la tete.

C'est elle qui m'a embrassé, je m'y atendait pas vrement..

Elle posa sa main sur son front, la temperature avait un peu baissée c'etait deja ca.

Tu te leveras quand tu seras REELLEMENT guerie.

Ensuite elle sortit de la piece en croisant ses bras derriere la tete, elle se sentait mal a l'aise avec toute cette histoire.

* Quand je serais réellement guérie... Réellement, elle entend quoi par ça. Raah, j'en ai marre de rester enfermée... Faites-moi sortir ! *

Etant obligé de rester dans sa chambre, Noriko fut une fois de plus confronté à ses pensées :

* C'est elle qui m'a embrassé, je m'y atendait pas vrement.. *

Ainsi, elle ne lui avais pas menti, elle ne l'avait pas embrassé. Une vague de joie submergea Noriko. Il restait une chance, aussi infimesoit-elle qu' Aya l'aime.

Elle décida de tenter, ce soir, les sentiments d' Aya.
Oui, elle se léverait et irait la voir !

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" Tiens, des fraises "

Elle venait de rentrer de sa balade en ville.
Elle lui en avait acheté sans savoir exactement pourquoi elle agisait comme cela.

" J'serais dans ma chambre si t'as besoin de moi "

Une fois dans sa chambre, elle chercha un endroit ou elle cacherait le journal intime qu'elle avait achetée.
Elle n'avait pas d' amis et peut-etre qu'un jour elle aurait vraiment besoin de se confier.
Elle opta finalement pour le ranger entre le sommier de son lit et le matelas.

" Voila une bonne chose de faite "

Puis, elle prit un stylo, s'assis sur le lit et écrivit :

" Aujourd'hui, Aya m'a fait ressentir quelque chose que je n'avais jamais ressentie auparavant. C'était si intense. J'espere que cela se renouvellera au plus profond de moi "

Elle le rangea et soupira :

" Je me sens si seule... Se confier à un journal, c'est si... pathétique ! "

Elle s'allongea sur le lit et ferma les yeux.

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Elle entendait Aya crier, puis plus rien.
Quelques seconde aprés, un grand " BOUM" et un cri.
Le coeur de Noriko battit plus vite : Aya venait de tomber et s'était peut-etre fait mal.
Elle sortit hativement de sa chambre et accourut auprés d' Aya.

" Maitresse Aya, sa va ? "

Celle-ci lui répondit et Noriko fit le nécessaire pour qu'elle ait moins mal, lui administrant un médicaments pour sa tête.

" Voila "

Elle la laissa et repartit en direction de sa chambre, tout en pensant :

" Retiens-moi, retiens-moi... ou... rejoins-moi. "

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Aya vit Noriko sortir pour lui donner un coup de main. Mais ensuite en s'en alla encore une fois aussi vite qu'elle etait venue. Ce comportement commencait vrement a l'agacer plus que tout. Alors elle se releva mais decida que si Noriko voulait quelque chose d'elle il fallait qu'elle vienne le prendre elle meme. Mais ca ne l'empechait pas de la taquiner un peu.
Elle se releva et alla ouvrir la porte de la chambre de Noriko a frand coup de pied pour ensuite lui tirer la langue et s'en aller dans sa chambre a elle.

* Elle me provoque, reste calme. Elle veux que tu ailles vers elle, alors n'y va pas, elle serait trop contente. *

Ah mon Dieu que c'était dure pour Aya de résister.
Mais il le fallait, a tout prix.
Pourtant, elle avait tant besoin de la voir.
Tant pis, elle irait la voir, il ne se apsserait rien, elle serait amie, et fin du spectacle.

" Allez ma vieille, bouge-toi "

Mais pour allez la voir, encore fallait-il une obnne raison...
Elle réfléchit.

" Hum, voyons voir... Je sais "

Elle se dirigea vers la porte de la piéce ou se trouvait Aya et toqua.

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Aya entendit frapper a sa porte, se doutant que c'etait Noriko elle souria.

Entrez.

Elle certaine qu'elle avait joué avec elle tout a l'heure, alors elle jouerai avec elle maintenant tien, ca lui apprendrai ! elle etait allongée sur son lit, les bras croisés en train de lire un livre. Elle ne leva pas les yeux de ce dernier et reflechissait en meme a ce qu'elle allait faire.

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Aya était rentrée dans la maison.
Elle s'était tout de suite dirigée vers sa chambre où elle avait - de nouveau - pris son journal intime :

" J'ai montré à Aya le framboisier puis je suis partie. Je ne suis qu'une imbecile : je n'ai pas eu le courage de lui dire que je l'aimais. Parce que oui... c'est bien de l'amour que je ressens vis a vis d'elle... Enfin, je crois "

Elle alla sur le perron.
De là, elle avait une vue magnifique sur le jardin et notamment sur Aya qui y était resté malgré la pluie.

*Elle va attrapée froid... *

Elle resta comme ça 5 bonnesm inutes avant de dire, à voix basse, pour elle-meme :

" Je te veux... je t'aurais... je me le promets... je t'aime si fort.

Elle rentra dans sa chambre et alla dans la salle de bains, pour se laver dans un bon bain moussant.

Maître Nombre de messages : 230 Date d'inscription : 24/08/2006

Aya rentra dans l'apart, elle etait trempée jusqu'aux os et avait un peu froid quand meme. Elle se depecha de monter et de se diriger vers la seul salle de bain de l'apart, elle qui croyait qu'elle en aurait une dan sa chambre. Remarque depuis la chambre de Noriko on pouvait directement y acceder aussi donc c'etait tout comme mais ce n'etait pas sa chambre a elle de toute facon. Elle essaya de rentrer mais la porte etait fermée, la neko etant en bas, ca devait etre Noriko.

Hum hum, Noriko je veut pas de presser surtout mais on n'a qu'une salle de bain et j'aimerais orendre une touche. Atchoum !!

Elle eternua et renifla un peu, une bonne douche serai la bien venue, avec de la bone eau chaude. Elle s'en delectait deja.

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Noriko arriva dans la chambre.
Aya s'était retournée et avais respecté le souhait de Noriko : elle en était contente.
Elle choisit une robe rouge vif, moulante et agréable à porter. Elle se regarda dans le miroir.

* Si avec Aya ne fond pas, je ne m'appelle plus Noriko *

Sa décision était prise. Elle la voulait, elle l'aurait.
Puis, elle se tourna vers son journal.

" Toi, j'ai failli te donner en lecture à Aya, une chance que je me sois osuvenue que tu n'étais pas caché. "

Elle profita qu'il soit entre ses mains, pour écrire en vitesse :

" J'ai pris ma décision, je veux Aya, je l'aurai. Et le plus tot sera le mieux "

Elle le rangea et soupira.
L'amour est un sentiment si curieux.

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Aya sortit de la douche le sourir aux levres, elle etait totalement relaxée maintenant. Elle commenca s'habiller mais entendit bientot quelque chose, des cris dehors, elle tendit l'oreille et reconnu ses amis, surtout Setsuna. Elle couru a la premiere fenetre, celle dans la chambre de Noriko, elle avait juste eut le temps d'enfiler une grande chemise qui lui arrivait a mui cuisse mais etait pressée il faut dire. Elle alla directement a la fenetre et l'entre ouvrit.

Desolé pour l'interuption.

Elle vit ses amis qui lui firent des grand signes de salu.

Qu'est qui a ?

On va en boite ? Aller s'te plait !

Nan j'ai pas envie, il fait trop froid !

Mais aller ca va etre marrant, on te laissera t'envoyer en l'air tu sait !

Cette fois Aya prit une teinte rouge et prit un caillou coincé dans la goutiere pour le leur lancer sur la tete.

Baka !

Ils rirent et s'en allerent vers leur boite de nuit. Aya ferma la porte et soupira en serrant son poing, decidement ceux la c'etaient de vrais gamin.

" Tiens, t'es toute rouge "

Noriko ria. Voir Aya comme ça la faisait bien rigoler, elle qui d'habitude faisait la forte tête.

" Peut-etre as-tu chaud... Enfin, quand on voit ce qu'ils disent... Je compatis "

Son rire était cristallin. Cela lui faisait du bien de rire comme sa, ça la faisait... décompresser.
Elle se calma.

" Alors comme ça, tu " t'envoies en l'air "... J'aurais du m'en douter hein, j'dois etre naive pour croire que t'es pas comme sa. "

Elle s'arreta. Décidemment , plus le temps passait, plus elle apprenait de chose.

" Si tu permets, j'aimerais bien etre seule. "

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Aya etait un peu vexée qu'elle se moque d'elle, elle dessera son poing et se retourna vers Noriko avec un regard un peu colerique.

Tu va pas t'y mettre toi aussin. Et puis d'abord peu etre que je m'envoie en l'air comme tu di, mais au moin moi je sait ce que je veut !

Elle serra les dents et detourna la tete, ses amis etaient d'un grossier, elle ne parlait comme ca que quand elle avait un peu trop bu elle, et oui ca lui etait arrivé de ce faire certaine personnes qu'elle avait vu en boite mais rien de plus. Elle se retourna et commenca aprtir vers la salle de bain, il fallait encore qu'elle finisse de s'habiller.
Quand elle eut finit elle retourna dans sa chambre, toujours un peu enervée. Elle s'allongea sur le lit puis recommenca a lire.

Elle l'avait faché et s'en réjouissait.

" Je suis bien bizarre parfois... "

Elle sourit et consulta le réveil.

" Déja cette heure-la, faut que j'aille cuisiner. "

Elle sortit. En passant prés de la chambre d'Aya, elle entendit des voix.
Curieuse elle écouta et regarda.
Elle vit Aya carresa Misaki et pleura.

* Je ne t'aurais jamais, je ne suis pas à la hauteur*

Elle cuisina, toujours en pleurant, puis elle les apela à table.
Elle avait les yeux rouges a force d'avoir pleurer.

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Les baisers, ça au moins, elle savait les faire.
Elle joua avec la langue d' Aya.
Elle la touchait puis se reculait, l'obligeant à avancer plus dans celle de Noriko.
Elle ferma les yeux et fit comme Aya lui avait dit.
Elle se concentra sur less sensations, essayant de mémoriser les geste qu' Aya faisait sur elle.

* Peut-etre qu'un jour, moi aussi je les ferais, pour elle *

Aya pressa encore plus sa jambe.
Noriko poussa un petit cri de surprise...
... mais aussi de plaisir.

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Aya apronfondissait leur baiser pendant qu'elle appuyait toujours plus avec sa jambe. Elle l'entendit pousser un cri et souria. Maintenant elle devait passer a l'etape superieur et faire monter la temperature. Elle attrapa la langue de Noriko et joua avec tandit qu'elle la redressait pour lui enlever son soutif et devoiler sa poitrine. Elle descendit ensuite sa langue et s'arreta devant un des deux seins qu'elle caressa tout en regardant Noriko dans les yeux, voulant capté chaque reactions. Ensuite elle souria plus mysterieusement et commenca a sucer le bout de ce sein, tandit qu'elle faisait rouler celui de l'autre sur ses doigt, tanto elle tournait tantot elle tirait.

Voila qu'elle se retrouvait sans son soutif. Hors de question d'etre la seule, déja quelle sentait génée.. Elle retira le haut d'Aya et dégrafa son soutien-gorge, à son tour. Elle eut besoin de ses deux mains et elle le fit assez maladroitement. Une fois la chose faite, elle admira la poitrine d' Aya. Elle essaya de ne pas la fixer trop, pourtant ses yeux s'attardérent sur " cette perfection humaine ". Elle tendit une main et toucha doucement et avec hésitation la poitrine d' Aya. Puis, elle écourta le baiser et se releva de sorte d'avoir sa figure au niveau des seins de sa partenaire. Elle avança timidement sa tete et mordilla en douceur les tetons d' Aya. Elle sentit celle-ci frissonner de plaisir et fut trés contente de pouvoir lui donner au moins cela.

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Aya laissa echapper un petit gemissement en sentant les mordillement sur sa poitrine, elle etait deja etonnée que Noriko agisse ainsi mais elle aprenait vite aparemment. Elle la laissa faire pendant qu'elle frottait convulsivement le bouton du pantalon de sa partenaire. Elle finit par le detacher et le baisser legerement. Elle s'amusa ensuite a caresser le bas ventre plus tot que plus bas. Mais elle finit par descendre sa main et titiller le bouton sensible de la fille sous elle pour lui arracher ses premiers cris de plaisir.

Noriko gémissait de plaisir, elle voulait que cet instant dure toute la vie. Elle abandonna la poitrine, elle laissa sa tete tombé sur l'oreiller et se mordit la lévre pour ne pas crier plus et alerter Misaki. Il ne manquerait plus qu'elle arrive à ce moment là de l'acte. La, ce serait fichue. Elles s'arreteraient là... Noriko essaya de ne pas y penser et se mordit encore plus la lévre. Si Aya continuait, il y avait fort à parier qu'elle ne pourrait se contenir et qu'elle criait son plaisir. Elle essaya de se distraire l'esprit et les mains en déboutonnant, à son tour le pantalon d'Aya. Ses mains étaient moites à cause de la chaleur qui animait son corps et elles tremblaient. Elle eu du mal à accomplir la mission qu'elle s'etait " donné" mais une fois cela fait, elle commença à carressa les fesse d'Aya.

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Aya s'amusait a regarder toutes les reactions de la pauvre Noriko qui essayait de se contenir. Mais c'etait peine perdue car elle etait bien resolu a la faire crier de plaisir pendant un bon moment. Elle sentit les caresses sur elle qui lui firent beaucoup de bien puis descendit sa bouche vers les seins encore une fois pour les mordiller, les sucer tandit qu'elle prenait son clitoris pour le pincer, puis le caresser jusqua ce qu'il gonfle bien.

Noriko ne put resister longtemps et cria. Elle cria sa joie, son plaisir. Elle cria le plus fort qu'elle pouvait. Elle ne pouvait plus s'arreter. Et plus elle criait, plus Aya continuait, accélérant meme. Noriko voulait plus encore. Elle se nourrissait de ce plaisir meme. Plus aya lui en procurait plus elle en voulait. Noriko avait compris comment faire et entreprit, avec des mains qui n'était pas experte du tout de faire la meme chose. Elle hésitait, elle avait peur de mal s'y prendre et de lui faire mal. Voyant que ces gestes ne faisaient pas souffrir Aya, elle le sfit un peu plus fort. Elle sentait le souffle d' Aya s'accélérait au rythme de ses gestes. cela la fit sourire : elle était capable, elle aussi de procurer du plaisir. Elle continua : elle voulait, tout comme aya, l'entendre crier.

Maître Nombre de messages : 230 Date d'inscription : 24/08/2006

Aya accelera de plus en plus ses mouvement, entendre Noriko crier ainsi la rendait joyeuse. Puis elle sentit qu'elle aussi commencait a prendre des mesure en imitant ses gestes. Elle ne peut retenir quelques gemissements qui reussirent a s'echapper de temps a autres.
Elle arreta un moment ses caresse pour la frustrer un peu puis descendit ses doigt et commenca a en introduire un en elle, le plus doucement possible tout en continuant a lui sucer les seins. Bientot elle tomba sur l'obstacle de la virginité et appuya un peu plus fort pour le briser. Elle attendit ensuite une sorte de feu vert pour continuer et eviter de lui faire mal.

Noriko sentit Aya s'arreter. Elle emit un grondement de mecontentement. Heureusement qu' Aya avais emit des grondements de plaisir suite ses gestes, sinon, elle aurait raiment etait frusté. Heureusement qu'elle était dans une sorte de transe, sinon elle l'aurait punie elle aussi en s'aretant ... Elle souria.
Puis, elle sentit Aya qui pénétrait dans sa partie sensible avec un doigt. Sa respiration s'accéléra, la peur l'envahie. C'était maintenant qu'elle allait avoir mal. Elle se crispa. Quant Aya appuya sur la seule chose qui signifiait à ses yeux le mot virginité, elle eut trés mal, certainement à cuas ede sa crispation.
Cette fois, elle cria, mais plus de plaisir.

" Aiiiiiiiiiiiiiie "

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